Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Si l'on en croit Franz Kafka, il ne subsisterait de l'antique Mésopotamie qu'une fosse, une empreinte négative, autrement dit rien ! Elle a existé,...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
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Résumé
Si l'on en croit Franz Kafka, il ne subsisterait de l'antique Mésopotamie qu'une fosse, une empreinte négative, autrement dit rien ! Elle a existé, cependant, et elle existe toujours. D'aucuns l'ont rencontrée. Boris Vian en parle avec enthousiasme, dans L'Automne à Pékin, même s'il lui préfère un autre nom, celui d'Exopotamie. L'autobus 975 y conduit. On y mange des sauterelles. On y fait des fouilles archéologiques. On y construit une ligne de chemin de fer. On y fait l'amour. Ce livre se veut un voyage à travers le temps et l'espace, la Mésopotamie en bandoulière. Il donne à voir l'image que s'en sont faite les hommes de lettres, les artistes et les érudits, mais aussi le public, en Occident et en Orient, depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours. Avec la redécouverte scientifique de la Mésopotamie, son écriture cunéiforme et son architecture de terre, par les archéologues et les épigraphistes, au cours du XIXe siècle, cette image subit une profonde modification. Au passage, le mythe biblique de la tour de Babel, tout particulièrement, est revisité. Où l'on voit que la Mésopotamie accompagne le XXe siècle dans ses errances. Si elle n'offre pas de recettes pour résoudre : les problèmes du monde contemporain, elle apprend toutefois à envisager autrement le rapport entre soi et le monde.