Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La philosophie était souvent conçue dans l'Antiquité comme une thérapie de l'âme, une méthode de guérison de l'âme troublée par son expérience...
Lire la suite
La philosophie était souvent conçue dans l'Antiquité comme une thérapie de l'âme, une méthode de guérison de l'âme troublée par son expérience et sa vision du monde. Partant du rapport établi par Wittgenstein entre la philosophie conçue comme thérapie et le langage, A.-J. Voelke a cherché, dans une série d'études réunies ici, à cerner de plus près la fonction attribuée au langage dans la thérapie de l'âme proposée par les trois grandes écoles philosophiques de l'époque hellénistique, l'épicurisme, le stoïcisme et le scepticisme. Il en résulte une présentation des différentes manières dont ces mouvements philosophiques ont conçu leur activité, les techniques de thérapie intellectuelle et morale et les conceptions du langage qu'ils ont élaborées. Les représentants des trois écoles à l'époque impériale (Diogène d'Oenoanda, Marc Aurèle, Sextus Empiricus) sont également traités. Les études sont précédées de deux essais proposant une approche susceptible de révéler l'actualité des textes philosophiques anciens, et d'une préface de Pierre Hadot qui situe les travaux d'A.J. Voelke dans le cadre d'une réflexion sur la signification de la philosophie antique.