Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Les intellectuels ont la réputation d'être radicaux, élitistes, progressistes, anticonformistes, engagés politiquement et farouchement opposés au...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 3 octobre
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Résumé
Les intellectuels ont la réputation d'être radicaux, élitistes, progressistes, anticonformistes, engagés politiquement et farouchement opposés au capitalisme. Ces attitudes ont été constatées à différentes époques et dans différents pays comme, par exemple, la France aujourd'hui. Au moyen d'un questionnaire auprès des professeurs universitaires, les auteurs ont essayé de mettre en lumière les relations existantes entre ces différentes attitudes et d'en comprendre les origines. Il ressort de cette étude un portrait qui remet en cause l'idée communément admise selon laquelle les intellectuels seraient les individus les mieux placés pour juger des questions de justice politique. " Il est à gager que ce livre ne plaira pas à tout le monde, notamment dans le public des lecteurs qui se trouveront être, par la force des choses, à la fois juges et parties. La sociologie des intellectuels est peu développée (...) notamment parce que les sociologues répugnent naturellement à prendre pour objet une catégorie sociale à laquelle ils appartiennent eux-mêmes. S'abritant plus ou moins explicitement sous l'autorité -sur ce point bien douteuse- de Karl Mannheim, les intellectuels en général et les sociologues en particulier se voient facilement comme freischwebend : comme échappant aux déterminismes sociaux auxquels ils asservissent généreusement les autres ". (Raymond Boudon).