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Cette grande eau verte du poème se lira comme un éloge de toutes les mers qui ont généré chez Jean-Louis Keranguéven le poème à la fois de l'angoisse du départ et du non-retour, mais aussi de la fascination du mouvement perpétuel. Ce recueil est aussi, grâce à la traduction de Jean-Claude Forêt, un hommage à la terre occitane qui l'a accueilli et qui lui a permis une approche poétique de "l'autre mer".