Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dès sa présentation publique lors du 35e Salon de l'automobile de Paris, en octobre 1948, la Ford Vedette s'inscrit d'emblée comme la voiture française...
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Dès sa présentation publique lors du 35e Salon de l'automobile de Paris, en octobre 1948, la Ford Vedette s'inscrit d'emblée comme la voiture française de luxe, fabriquée en grande série. L'absence d'une véritable concurrence nationale lui permet de conserver ce titre pendant de nombreuses saisons. Ses lignes sensuelles, évocatrices d'une Amérique alors synonyme de succès, sa mécanique feutrée à 8 cylindres en V, conjuguée à un confort et à un équipement exceptionnels, ne sont qu'un beau rêve pour la grande majorité des automobilistes hexagonaux. La voiture cible une clientèle bourgeoise pour qui une conduite confortable est plus importante que les performances, mais qui n'a pas les moyens de s'offrir une automobile américaine d'importation. Si la Ford Vedette est produite en France, son projet originel est né aux Etats-Unis. La Ford Motor Compagny lance dès 1944 l'étude d'un véhicule économique : un programme qui rencontrera tellement de problèmes qu'il sera finalement abandonné en 1946. Maurice Dolfus, défenseur des intérêts français de Ford, persuade Henry Ford II de lui confier les plans de cette " Little Ford ", afin d'alimenter les chaînes d'assemblage de son usine de Poissy. Cette transaction signe la date de naissance du programme F 492 E, plus connu sous le nom de Vedette.