Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Je suis sûr, écrit Jorge Luis Borges, que les contes de G. K. Chesterton (1874-1936) seront toujours lus, car le mystère suggéré par un fait impossible...
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" Je suis sûr, écrit Jorge Luis Borges, que les contes de G. K. Chesterton (1874-1936) seront toujours lus, car le mystère suggéré par un fait impossible et surnaturel est aussi intéressant que la solution d'ordre logique que nous donnent les dernières lignes. La littérature est une des formes du bonheur ; et aucun écrivain, peut-être, ne m'a procuré autant d'heures heureuses que Chesterton. " Et Borges de poursuivre : " Il fut le plus grand héritier d'Edgar Poe ", mais à la différence de l'auteur des Histoires extraordinaires, " Chesterton a écrit des contes fantastiques finissant comme des romans policiers. " Dans les mauvaises histoires policières, la solution est d'abord matérielle : une porte dérobée, une fausse barbe. Dans les bonnes, elle est d'ordre psychologique : un mensonge, une tournure d'esprit. Parmi les bonnes et même parmi les meilleures on peut inclure n'importe quel récit de Chesterton, lesquels sont aussi ardus à résoudre qu'un difficile problème de jeu d'échecs ou une contrerime de Paul-Jean Toulet. Le présent recueil propose un pot-pourri de trente-cinq nouvelles, contes de fées et récits paradoxaux parus entre 1891 et sa mort.