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Isabelle Prêtre a toujours eu envers la Croix Glorieuse un sentiment merveilleux, que les mots ne sauraient expliquer. Une vénération de l’âme qui devant Elle se met à genoux. Et c’est justement le jour de la Croix Glorieuse, l’an dernier, que son frère adoré a été terrassé par un AVC. Ainsi, selon elle, la Croix Glorieuse est sans doute pour les chrétiens la clef d’un mystère de feu. Cette fête sacrée mérite la lumière, car c’est la fête de la Lumière absolue.
Sans avoir le culte de la Croix, ni le culte du sang ou du sacrifice. Sans rejoindre les doloristes qui ne parlent que de la Croix, et se donnent à la souffrance volontaire au nom d’un Dieu qui ne l’a pourtant jamais cherchée. Mais avec juste l’envie de méditer sur la Croix Glorieuse, voilà l’intention de l’auteur.