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" Les droits français, allemand et japonais avaient des réactions apparemment différentes face au concept de la bonne foi. Alors que le droit français semble faire une application réduite de ce concept en droit des contrats, la pratique judiciaire allemande lui dessine des contours très larges et lui fait produire de nombreux effets juridiques. Le droit nippon, lui, paraît occuper une position médiane.
Il est heureux que ce travail bénéficie d'une publication large qui permettra au juriste français de découvrir d'autres façons que la méthode juridique et jurisprudentielle française d'appréhender la bonne foi dans les contrats. "F. F.