Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'histoire entre Salvador Dali et les Editions de La Table Ronde commence en 1951, avec la publication de La Vie secrète. Ce livre est le premier fruit...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
L'histoire entre Salvador Dali et les Editions de La Table Ronde commence en 1951, avec la publication de La Vie secrète. Ce livre est le premier fruit d'une collaboration entre l'artiste catalan et le romancier Michel Déon, qui se chargera aussi d'éditer Les Cocus du vieil art moderne (1956) pour la collection " Libelles ", aux Editions Fasquelle, et le Journal d'un génie (1964) pour La Table Ronde. Au fil des séances de travail se noue une amitié, évoquée par Michel Déon en 1985 dans un recueil de souvenirs, Bagages pour Vancouver. Elle incite Salvador Dali à lui confier L'Esputnic du paubre. Michel Déon en rédige l'adaptation à la fin des années 1950, mais la copie s'égare. Cette nouvelle inédite paraît ici pour la première fois, dans une adaptation de Jean-Baptiste Gendarme, ainsi qu'en fac-similé, sous sa forme originale, un cahier d'écolier ayant pour titre Trifolie. La présente édition est complétée par un extrait de Bagages pour Vancouver, illustré par des documents de fabrication et d'édition de La Vie secrète de Salvador Dali, ainsi que des notes manuscrites de Dali ayant servi à la rédaction du Journal d'un génie et des Cocus du vieil art moderne.
Nouvelle inédite, dans une adaptation de Jean-Baptiste Gendarme. Ce texte, d'une drôlerie toute dalinienne, a sans doute été inspiré par les journaux de l'époque où quelques huluberlus proposaient, afin de régler définitivement le problème des déchets atomiques, de les lancer dans l'espace...