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Saga
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deuxième guerre mondiale
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série
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violences conjugales
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amité
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Pension du Bord de mer
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saga historique
Londres, 1942. Ruby, âgée de dix-huit ans, est mariée à Ray et vit dans la peur des coups de son époux. La moindre parole ou le moindre regard peuvent déclencher un déchaînement de violence. Lors d’un bombardement, elle saisit l’occasion de fuir et choisit un train au hasard. La destination est Cliffehaven. Même si elle souffre de laisser sa mère et s’inquiète des répercussions, elle espère recommencer sa vie. Elle trouve, rapidement, un logement et un travail. Hélas, elle semble en danger chez le couple qui lui loue une chambre. Sans connaître la jeune fille, avertie
des périls qui la guettent, Peggy Reilly accepte de la recueillir. Elle charge son beau-père, Ron, de la protéger. En effet, la logeuse est hospitalisée. Même si la Londonienne est accueillie, chaleureusement, par les autres pensionnaires, une personne montre de l’animosité à son égard.
Ruby tente de se reconstruire, mais elle craint d’être repérée par son mari, surtout qu’elle se doute que l’envie de vengeance doit l’animer.
L’avenir nous appartient est le sixième opus de la série. Tous les rappels sont faits, si vous prenez la série en cours, mais c’est un réel bonheur de retrouver les personnages au fil des tomes. Nous avons la sensation de faire partie de la famille. Pour ceux qui ont lu Quand on ne peut oublier, Sarah et Jane font toujours partie de la pension du Bord de mer. Rita est toujours aussi enjouée, madame Finch s’amuse beaucoup avec la jeunesse, etc. Au sein de cette ambiance féminine, Ron, le beau-père de Peggy, montre beaucoup de dévouement. En effet, la logeuse vit des épreuves, et tout le monde veut la soulager de ses responsabilités. J’ai été très touchée par l’affection qu’expriment les actes de chacun. Peggy est toujours là pour chacun et lorsque le destin n’est pas tendre avec elle, chacun veut être présent pour elle et désire lui rendre la vie la plus agréable possible. Nous ressentons les liens qui unissent tous les habitants de la maison. Malheureusement, l’harmonie est menacée par l’attitude d’une « invitée »…
Dans L’avenir nous appartient, une grande part du récit concerne la vie civile en temps de guerre. L’auteure décrit le travail des femmes dans les usines d’armement, l’intensification des bombardements, les tickets de rationnement limités, le masque à gaz qui était devenu une extension du bras, les abris Anderson, les avions qui survolent le ciel et les alertes qui retentissent. Une scène m’a énormément émue, me provoquant des frissons.
J’ai adoré L’avenir nous appartient et j’ai hâte que la série se poursuive.
J’ai hâte que la série se poursuive
Londres, 1942. Ruby, âgée de dix-huit ans, est mariée à Ray et vit dans la peur des coups de son époux. La moindre parole ou le moindre regard peuvent déclencher un déchaînement de violence. Lors d’un bombardement, elle saisit l’occasion de fuir et choisit un train au hasard. La destination est Cliffehaven. Même si elle souffre de laisser sa mère et s’inquiète des répercussions, elle espère recommencer sa vie. Elle trouve, rapidement, un logement et un travail. Hélas, elle semble en danger chez le couple qui lui loue une chambre. Sans connaître la jeune fille, avertie des périls qui la guettent, Peggy Reilly accepte de la recueillir. Elle charge son beau-père, Ron, de la protéger. En effet, la logeuse est hospitalisée. Même si la Londonienne est accueillie, chaleureusement, par les autres pensionnaires, une personne montre de l’animosité à son égard.
Ruby tente de se reconstruire, mais elle craint d’être repérée par son mari, surtout qu’elle se doute que l’envie de vengeance doit l’animer.
L’avenir nous appartient est le sixième opus de la série. Tous les rappels sont faits, si vous prenez la série en cours, mais c’est un réel bonheur de retrouver les personnages au fil des tomes. Nous avons la sensation de faire partie de la famille. Pour ceux qui ont lu Quand on ne peut oublier, Sarah et Jane font toujours partie de la pension du Bord de mer. Rita est toujours aussi enjouée, madame Finch s’amuse beaucoup avec la jeunesse, etc. Au sein de cette ambiance féminine, Ron, le beau-père de Peggy, montre beaucoup de dévouement. En effet, la logeuse vit des épreuves, et tout le monde veut la soulager de ses responsabilités. J’ai été très touchée par l’affection qu’expriment les actes de chacun. Peggy est toujours là pour chacun et lorsque le destin n’est pas tendre avec elle, chacun veut être présent pour elle et désire lui rendre la vie la plus agréable possible. Nous ressentons les liens qui unissent tous les habitants de la maison. Malheureusement, l’harmonie est menacée par l’attitude d’une « invitée »…
Dans L’avenir nous appartient, une grande part du récit concerne la vie civile en temps de guerre. L’auteure décrit le travail des femmes dans les usines d’armement, l’intensification des bombardements, les tickets de rationnement limités, le masque à gaz qui était devenu une extension du bras, les abris Anderson, les avions qui survolent le ciel et les alertes qui retentissent. Une scène m’a énormément émue, me provoquant des frissons.
J’ai adoré L’avenir nous appartient et j’ai hâte que la série se poursuive.