Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Jongkind (1819-1891) aimait à représenter canaux et moulins de sa patrie, la Hollande, dans des scènes d'hiver où évoluent dies patineurs, ainsi...
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Jongkind (1819-1891) aimait à représenter canaux et moulins de sa patrie, la Hollande, dans des scènes d'hiver où évoluent dies patineurs, ainsi que les ports. En France, son pays d'adoption, il trouva son inspiration le long des quais de Seine, dans les rues de Paris et sur la côte normande. Le peintre, qui manifesta un merveilleux talent d'aquarelliste, de dessinateur, et de graveur, acheva son existence près de Grenoble, à La Côte Saint-André. Si les Néerlandais sont sensibles à la tradition du paysage hollandais à laquelle se rattache Jongkind, les Français ont retenu très tôt ce dernier comme un des leurs. Jongkind en vint à être considéré comme appartenant à leur lignée, selon une filiation reconnue par Signac : " Il faut donc placer ce rénovateur du paysage moderne entre Corot et Monet, en tête de ces autres précurseurs de l'Impressionnisme : Boudin, Cals et Lépine. Et, comme il le souhaitait, comme il l'indiquait en se proclamant, dans les livrets du Salon, élève d'Isabey [...], il doit être classé parmi les maîtres de l'Ecole française. "