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Les anecdotes, les souvenirs personnels, sont la matière première des mythes dont la littérature taibienne se veut le vecteur. " Les mythes ne se souviennent pas toujours de la meilleure partie des histoires, souvent ils n'en gardent que la plus sotte ou la plus niaise " (Ces foutus tropiques). (...) S'il s'agit de sauvegarder le souvenir du mouvement [ouvrier] et de ses protagonistes anonymes contre l'oubli institutionnel, il est aussi question d'en bâtir l'épopée.