Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Aucun historien ne pourra plus parler de la France dans ce siècle sans se référer à la lecture qu'en fait Zeldin ".
(E. Labrousse)
" Comment ne...
Lire la suite
" Aucun historien ne pourra plus parler de la France dans ce siècle sans se référer à la lecture qu'en fait Zeldin ".
(E. Labrousse)
" Comment ne pas dire ma totale admiration pour ce livre, chef-d'œuvre impressionniste, synthèse réussie entre l'histoire sociale et l'histoire des mentalités ; la réussite étant d'autant plus méritoire qu'elle s'opère à l'échelle d'un " stupide XIXè siècle " qui constitua, si longtemps, le parent pauvre de nos études historiques " (Emmanuel le Roy Ladurie).
" Qu'un Anglais, professeur à Oxford, donne en cinq épais volumes le panorama le plus perspicace, le plus fouillé, le plus passionné et passionnant des passions françaises entre 1815 et 1945, voilà qui fait rêver. Quelle somme de travail, quelles plongées dans tout ce qu'on a pu écrire sur la France, en France et ailleurs. Quel amour pour nous, Français insaisissables. Quel acuité à nous observer ". (Paris-Match).
" Deux mille pages, qui se lisent comme un roman. C'est une succession de portraits éblouissants, d'éclairages insolites, d'analyses qui fascinent et hérissent à la fois " (Sophie Lannes, L'Express).
" On ne pourra plus écrire sur l'histoire de notre enseignement sans se situer par rapport à cette œuvre majeure " (Antoine Prost, Le Monde de l'éducation).
" Nous connaissons peu, bien peu, de spécialistes français de la France postrévolutionnaire qui aient lu autant et qui en sachent autant sur elle " -Maurice Agulhon, Annales).