Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
George Sand est in séparable de Nohant. C'est dans une grande maison bourgeoise du Berry qu'elle a élevé ses enfants, reçu des amis qui s'appelaient...
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George Sand est in séparable de Nohant. C'est dans une grande maison bourgeoise du Berry qu'elle a élevé ses enfants, reçu des amis qui s'appelaient Balzac et Chopin, Delacroix ou Flaubert, et bâti une œuvre dont la fécondité, en son siècle, n'a été égalée que par Balzac et Hugo. Pierre de Boisdeffre, dont le bisaïeul, Jules Néraud (qui introduisit le dahlia en France) fut le professeur de botanique et l'ami de George Sand, a baigné, tout jeune, dans l'atmosphère de Nohant. Il fait revivre la romancière au milieu des siens, tour à tour mère tendre, amante passionnée, amie généreuse, hôtesse incomparable, jardinière et cavalière, mais aussi militante et féministe, apôtre des libertés, amie des bêtes et défenseur de la nature. Ce livre, qui témoigne d'une rare connivence avec George Sand et avec le Berry, sera pour beaucoup une révélation.