Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Formes et tendances de l'anarchisme a été édité une première fois en brochure, dès 1967, et ce à partir d'une série d'articles publiés dans le...
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Résumé
Formes et tendances de l'anarchisme a été édité une première fois en brochure, dès 1967, et ce à partir d'une série d'articles publiés dans le Monde libertaire. Ces textes gardent toute leur actualité par l'attention portée aux thèmes permanents et à l'évolution des idées anarchistes. Ainsi en est-il notamment de la révolte et de la place du collectif dans la perspective d'un changement de société, au-delà des diverses tendances ou formes de l'anarchisme. Ce qui fait le lien entre elles, c'est la conviction que la liberté personnelle est indissociable de la liberté collective, et que les moyens employés doivent rester en cohérence avec les fins à réaliser. Et, par-dessus tout, ce qui unit les anarchistes dans leur action, c'est la force de leur conviction. Si les idées anarchistes paraissent en général utopiques, c'est bien cette volonté globale, partagée, d'une autre société qui permettra d'aller vers une révolution sociale. René Furth montre aussi combien il est important de préparer cette révolution, en militant dès à présent dans la vie sociale, en s'appuyant sur une culture commune qui peut unir les hommes vers un même but, et en s'intéressant aux ébauches de luttes, même isolées, qui pourraient être un ferment pour une généralisation révolutionnaire. Bien sûr, reste la question souvent posée de la nécessité ou de la possibilité de l'action violente dans la transformation des structures globales. Face à la violence de la société actuelle, il faut bien reconnaître que le changement ne se fera pas facilement, car les intérêts du capitalisme s'opposent à ceux des opprimés. Nous devrons adapter nos outils de lutte en nous appuyant surtout sur la force de l'action collective. René Furth le dit depuis trente ans, et cela est toujours aussi vrai : agissons dans l'unité plutôt que dans la dispersion pour la réalisation de l'idéal libertaire.