Le sport, on le pratique à notre niveau, plus ou moins modestement.
Le sport, on le regarde, on le suit, sur les divers médias lors des grandes compétitions, mais aussi lors des championnats d’importances variées (locaux, régionaux, nationaux, internationaux).
Le sport est presque partout dans notre vie contemporaine et c’est tant mieux car il participe à notre bonne santé si on ne fait pas que regarder les autres en faire évidemment. Et non, le lever de télécommande n’est toujours pas une discipline olympique !
Le sport, toujours lui, est donc un bon prisme pour étudier, raconter
notre société.
Ce titre est court, mais dense.
Il s’agit d’un entretien avec Yves Coppens, paléoanthropologue et professeur au collège de France, qui nous parle de notre passé (nos cousins, nos ancêtres directs), de notre évolution physique (passage à la bipédie par exemple), mais pas seulement, de notre présent aussi avec l’homo sapiens sapiens, mais également un peu de notre possible avenir (évolution de la culture, de la nature).
C’est véritablement passionnant même si le sport n’est pas votre passion première. C’est un point de départ, mais les idées évoquées vont au-delà.
J’y ai redécouvert des notions que j’avais un peu oublié car je ne suis pas seulement plongée dans des ouvrages de paléoanthropologie (même si j’aime cela). J’ai pu aussi saisir le mode de pensée et d’approches d’Yves Coppens sur notre société, ses craintes fondées ou non. J’avoue que cela m’a amené à réfléchir, à échanger avec en premier lieu mon mari qui a dévoré également ce titre.
Ce livre pose des tas de questions plus complexes qu’il n’y paraît et je pense que cela pourrait faire l’objet d’écrits bien plus complets et conséquents, mais c’est déjà une bonne première approche que cette collection-là (Homo Ludens). Je pense d’ailleurs me pencher sur les autres titres disponibles ou à venir, histoire d’élargir encore ma vision des choses.
Petit par la taille, c’est un concentré de réflexions et de savoir qu’il faudrait diffuser beaucoup plus.
Bougeons, évoluons
Le sport, on le pratique à notre niveau, plus ou moins modestement.
Le sport, on le regarde, on le suit, sur les divers médias lors des grandes compétitions, mais aussi lors des championnats d’importances variées (locaux, régionaux, nationaux, internationaux).
Le sport est presque partout dans notre vie contemporaine et c’est tant mieux car il participe à notre bonne santé si on ne fait pas que regarder les autres en faire évidemment. Et non, le lever de télécommande n’est toujours pas une discipline olympique !
Le sport, toujours lui, est donc un bon prisme pour étudier, raconter notre société.
Ce titre est court, mais dense.
Il s’agit d’un entretien avec Yves Coppens, paléoanthropologue et professeur au collège de France, qui nous parle de notre passé (nos cousins, nos ancêtres directs), de notre évolution physique (passage à la bipédie par exemple), mais pas seulement, de notre présent aussi avec l’homo sapiens sapiens, mais également un peu de notre possible avenir (évolution de la culture, de la nature).
C’est véritablement passionnant même si le sport n’est pas votre passion première. C’est un point de départ, mais les idées évoquées vont au-delà.
J’y ai redécouvert des notions que j’avais un peu oublié car je ne suis pas seulement plongée dans des ouvrages de paléoanthropologie (même si j’aime cela). J’ai pu aussi saisir le mode de pensée et d’approches d’Yves Coppens sur notre société, ses craintes fondées ou non. J’avoue que cela m’a amené à réfléchir, à échanger avec en premier lieu mon mari qui a dévoré également ce titre.
Ce livre pose des tas de questions plus complexes qu’il n’y paraît et je pense que cela pourrait faire l’objet d’écrits bien plus complets et conséquents, mais c’est déjà une bonne première approche que cette collection-là (Homo Ludens). Je pense d’ailleurs me pencher sur les autres titres disponibles ou à venir, histoire d’élargir encore ma vision des choses.
Petit par la taille, c’est un concentré de réflexions et de savoir qu’il faudrait diffuser beaucoup plus.