Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Qui aurait cru, au début des années 1930, que Delahaye entreprenne un jour la construction de voitures de sport ? L'activité automobile de la respectable...
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Qui aurait cru, au début des années 1930, que Delahaye entreprenne un jour la construction de voitures de sport ? L'activité automobile de la respectable firme de la rue du Banquier repose alors sur une gamme de voitures de tourisme des plus conservatrices, et la fabrication de véhicules utilitaires assure le pain quotidien de la société. La crise économique et ses conséquences imposent à Delahaye de partir à la conquête de nouveaux marchés. A partir de 1936, le développement de la six-cylindres 135 concrétise l'orientation sportive de la marque, tout en faisant le bonheur des principaux carrossiers. Habillées par Chapron, Figoni et Falaschi, Saoutchik, et bien d'autres grands couturiers, les 135 se font, tour à tour, classiques, audacieuses ou extravagantes. Au même moment, les versions les plus sportives acquièrent un remarquable palmarès et remportent, entre autres, les 24 Heures du Mans en 1938. La guerre met provisoirement un terme à cette réussite. En 1946, Delahaye reprend la production de son modèle à succès qui incarne, jusqu'en 1951, une certaine idée de l'élégance et du grand tourisme à la française. Forts d'une grande robustesse et d'une remarquable polyvalence, la Delahaye 135 et ses dérivés figurent encore, cinquante ans après leur disparition, parmi les modèles les plus emblématiques de la construction nationale.