Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'intérêt pour les parents de Thérèse de Lisieux ne cesse de croître en France et dans le monde. L'Église se prépare à les déclarer " bienheureux...
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L'intérêt pour les parents de Thérèse de Lisieux ne cesse de croître en France et dans le monde. L'Église se prépare à les déclarer " bienheureux ", c'est-à-dire à les considérer comme des modèles pour les couples chrétiens. Dés lors, la correspondance de Zélie et Louis Martin devient le miroir de leur charité et de leur attachement indéfectible à Dieu. Les anthropologues se réjouissent du document de grande valeur sur l'histoire des mentalités que représente cette correspondance minutieuse d'une famille au temps de Madame Bovary. La partie la plus importante de cette édition intégrale est constituée des 218 lettres adressées par Zélie à sa famille installée à Alençon. Seulement 16 lettres de Louis Martin ont été retrouvées. Le lecteur découvre à travers cet ensemble exceptionnel la modernité des épreuves qu'a dû affronter le couple Martin : mariage tardif, angoisse pour l'avenir des enfants, soucis économiques, cancer du sein pour Zélie, maladie d'Alzheimer pour Louis. Mais s'y révèlent aussi l'amour fou d'un couple et la passion d'un père et d'une mère pour leurs enfants. " Le bon Dieu m'a donné un père et une mère plus dignes du Ciel que de la terre ", écrira Thérèse de Lisieux. L'introduction, les notes et la présentation du texte ont été réalisées par Guy Gaucher, évêque auxiliaire de Bayeux et de Lisieux, et les sceurs du Carmel de Lisieux.
Sommaire
Préface de Mgr Guy Gaucher
Les 218 lettres de 1863 à 1877 (mère) et les 16 de 1877 à 1888 (père) par ordre chronologique avec notes
Notes de critique textuelle
Généalogie des familles Martin et Guérin
Petit dictionnaire des noms propres
Résumé de la cause de béatification des parents Martin