Correspondance - Tome 1, 1913-1934 - Grand Format

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André Gide et Roger Martin du Gard - Correspondance - Tome 1, 1913-1934.
De 1913 à la fin de leur vie, André Gide et Roger Martin du Gard ont échangé une correspondance d'un intérêt capital. Témoignage de leur amitié,... Lire la suite
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Résumé

De 1913 à la fin de leur vie, André Gide et Roger Martin du Gard ont échangé une correspondance d'un intérêt capital. Témoignage de leur amitié, elle exprime aussi leur vie, leurs idées, la genèse de leurs oeuvres. A chaque nouveau livre, chacun dit à l'autre avec la plus extrême franchise ce qu'il pense, au point d'arriver parfois à une brouille passagère. L'opposition de leurs caractères et de leurs talents a rendu leur dialogue passionnant.
De son vivant, Roger Martin du Gard avait chargé Jean Delay de publier cette correspondance. Il tenait à la séparer de l'édition de sa correspondance générale en raison de l'importance qu'avait eue dans sa vie cette amitié. Pour aider Jean Delay dans son travail, Martin du Gard lui fit lire le Journal qu'il avait tenu de 1919 à 1949. Il préparait lui-même des notes pour sa correspondance quand il mourut en 1958.
Jean Delay, qui a édité cette publication, l'a présentée en écrivant une longue et importante introduction.

Caractéristiques

  • Date de parution
    20/03/1968
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-07-027033-5
  • EAN
    9782070270330
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    744 pages
  • Poids
    0.81 Kg
  • Dimensions
    13,7 cm × 21,8 cm × 4,4 cm

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L'éditeur en parle

De 1913 à la fin de leur vie, André Gide et Roger Martin du Gard ont échangé une correspondance d'un intérêt capital. Témoignage de leur amitié, elle exprime aussi leur vie, leurs idées, la genèse de leurs oeuvres. À chaque nouveau livre, chacun dit à l'autre avec la plus extrême franchise ce qu'il pense, au point d'arriver parfois à une brouille passagère. L'opposition de leurs caractères et de leurs talents a rendu leur dialogue passionnant.
De son vivant, Roger Martin du Gard avait chargé Jean Delay de publier cette correspondance. Il tenait à la séparer de l'édition de sa correspondance générale en raison de l'importance qu'avait eue dans sa vie cette amitié. Pour aider Jean Delay dans son travail, Martin du Gard lui fit lire le Journal qu'il avait tenu de 1919 à 1949. Il préparait lui-même des notes pour sa correspondance quand il mourut en 1958.
Jean Delay, qui a édité cette publication, l'a présentée en écrivant une longue et importante introduction.

À propos des auteurs

Né le 22 novembre 1869 à Paris, André Gide fait partie de l'entourage littéraire de Mallarmé et de Valéry dès 1891. Il fonde avec quelques amis La Nouvelle Revue Française en 1908, donnant trois ans plus tard aux Éditions de la N. R. F. l'une de leurs toutes premières publications, Isabelle. Par son oeuvre, ses prises de position, ses nombreuses amitiés et ses voyages, il exerce durant l'entre-deux-guerres et au-delà un véritable magistère.
Il reçoit le prix Nobel de Littérature en 1947 et meurt à Paris le 19 février 1951. Roger Martin du Gard est né le 23 mars 1881 à Neuilly-sur-Seine. Il appartient à une famille de magistrats et d'avocats. Après des études secondaires à l'école Fénelon et au lycée Janson-de-Sailly, il est admis en 1903 à l'École des chartes d'où il sort en 1905 archiviste-paléographe. La lecture de La guerre et la paix de Tolstoï éveille en lui une vocation de romancier.
À la veille de la Première Guerre mondiale paraît son premier roman important, Jean Barois (1913). Il se lie d'amitié avec André Gide et Jacques Copeau. Il est tenté un moment par le théâtre. En 1920, il conçoit un vaste roman cyclique, Les Thibault. Il y consacre alors l'essentiel de son temps et se retire la plus grande partie de l'année dans sa propriété du Tertre, en Normandie. La publication des Thibault en est à son avant-dernier volume, L'été 1914, quand Martin du Gard reçoit le prix Nobel de littérature en 1937.
Il passe une grande partie de la guerre de 1939-1945 à Nice et prépare un roman, qui restera inachevé, les Souvenirs du colonel de Maumort. Il meurt en 1958.

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