Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Au contraire de l'huitre et de la moule, le cheval ne se mange que mort. Avant de le hacher, on le déferre (les fers émoussent le tranchant du hachoir)....
Lire la suite
Au contraire de l'huitre et de la moule, le cheval ne se mange que mort. Avant de le hacher, on le déferre (les fers émoussent le tranchant du hachoir). Après quoi on fait du saucisson pur porc." " Le lion, assurait Baudelaire (ou alors Delacroix, ou alors Courteline), est plus fier que le chef de bureau. (mettons le sous-chef pour ne pas paraître exagérer.) ". " La barbe à papa, pour ceux qui ne le savent pas, est une espèce de coton hydrophile comestible, volumineux, inconsistant, une neige lyrique qui fournit aux enfants des hommes la nourriture la plus chimérique de la terre (à l'exception de la graine de pastèque). " Cet ouvrage rassemble les moreaux choisis et les chroniques les plus drôles d'Alexandre Vialatte écrivain " notoirement méconnu " selon ses dires, parues dans le journal " La Montagne ". " Il y a deux sortes de lecteurs de Vialatte ; ceux qui l'adore et ceux qui ne le connaissent pas encore ".