Brèves histoires d'humour - Poche

Le chambardoscope

Note moyenne 
Alphonse Allais - Brèves histoires d'humour  : Le chambardoscope.
Pour un esprit curieux, un lecteur vagabond, une collection de textes brefs : contes, nouvelles, correspondances, préfaces, interviews, manifestes, essais,... Lire la suite
3,35 € Neuf
Définitivement indisponible
En librairie

Résumé

Pour un esprit curieux, un lecteur vagabond, une collection de textes brefs : contes, nouvelles, correspondances, préfaces, interviews, manifestes, essais, pamphlets, poèmes... " Pendant quinze ans, Alphonse Allais a distribué de la joie à des milliers de lecteurs. Alors dans les wagons, dans le métro, dans les omnibus, dans la rue, on entendait cette phrase : " Avez-vous lu celui de ce matin ". Il s'agissait de l'article d'Alphonse Allais et, pendant quelques instants, ces humbles gens avaient pu croire, effectivement, que la vie était drôle ". Maurice Donnay.

Caractéristiques

  • Date de parution
    16/09/1997
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-7152-2054-5
  • EAN
    9782715220546
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    88 pages
  • Poids
    0.07 Kg
  • Dimensions
    10,0 cm × 16,0 cm × 0,7 cm

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

L'éditeur en parle

Choix et préface de Régine Detambel

À propos de l'auteur

Biographie d'Alphonse Allais

L'humoriste Alphonse Allais est né à Honfleur le 20 Octobre 1854. A Paris, il entame des études de pharmacie et se lie aux hydropathes du Quartier Latin avant de participer à la fondation du cabaret du Chat Noir. Il vit un temps avec Jane Avril. Producteur de pièces de théâtre, il deviendra rédacteur en chef d'un hebdomadaire illustré, Le Sourire. Plus de 1300 de ses textes paraîtront dans la presse entre 1875 et 1905. Il publie alors une douzaine de recueils de contes, fantaisies et chroniques sous des titres aussi désopilants que Rose et vert pomme, Deux et deux font cinq, ou On n'est pas des bœufs. Salué par Jules Renard, André Breton, Sacha Guitry, il meurt le 28 Octobre 1905. Sa dernière chronique, parue dans le Journal le 20 Octobre 1905, s'intitulait la faillite des centenaires.

Du même auteur

Vous aimerez aussi

Derniers produits consultés