Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Un Balzac inconnu ? Du neuf sur Balzac ? Ce Balzac (Qui suis-je ?) propose un regard inédit sur le romancier et sur l'énigme que constitue le contraste...
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Un Balzac inconnu ? Du neuf sur Balzac ? Ce Balzac (Qui suis-je ?) propose un regard inédit sur le romancier et sur l'énigme que constitue le contraste entre la "grandeur" de l'œuvre et la " misère " (pascalienne) de l'homme, ce prodige qui contenait en lui, selon ses propres dires, " toutes les incohérences ". Ce Qui suis-je ? présente une nouvelle lecture, fondée cette fois sur la " doctrine mystique " de Balzac, ce " christianisme johannique " auquel il entendait se rattacher, auquel il rattachait sa Comédie humaine et par lequel il se rattachait lui-même à la tradition ésotérique universelle. On verra que cette doctrine, trop négligée jusqu'à présent, si elle ne résout pas le mystère de la création balzacienne, en dégage le sens et la portée générale. Elle en éclaire les intentions profondes et agit comme un révélateur des véritables dimensions de cette entreprise romanesque hors pair. En effet, elle inscrit la Comédie humaine dans le cadre d'une vision, peut-être confuse, mais assurément grandiose, qui relie le monde à son Principe suprême et renvoie l'homme à sa destinée spirituelle, telle qu'elle est représentée, dans la société et dans l'œuvre, par le combat entre les Forts et les Faibles autour de l'argent, du pouvoir et de l'amour, l'ensemble placé sous l'éclairage de cette " recherche de l'Absolu ", dont la soif confine quelquefois à la démence... Ainsi, la doctrine apparaît comme l'instance médiatrice entre Balzac et le génie qui le dirigeait, ainsi que l'avait aperçu Victor Hugo.