Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le 7 mai 1954, après de longs mois de siège, la garnison de Diên Biên Phu dépose les armes devant l’Armée populaire du Viêtnam. La littérature...
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Le 7 mai 1954, après de longs mois de siège, la garnison de Diên Biên Phu dépose les armes devant l’Armée populaire du Viêtnam. La littérature sur le sujet est abondante mais les témoignages vietnamiens sont rares et méconnus. À quoi ressemblait la guerre du côté communiste? Ce carnet, découvert par la journaliste américaine Sherry Buchanan, apporte une réponse concrète. Son auteur, un jeune artiste de 22 ans, étudiant à l’École des Beaux-Arts d’Hanoi et déjà vétéran de sept ans d’engagement Viêt-minh, y a couché au jour le jour les faits et gestes de ses compagnons d’armes, mais aussi ses pensées et ses peurs. Le ton est empreint de propagande, mais l’émotion qui transparaît notamment dans ses dessins révèle l’universalité des souffrances de guerre. Préfacé par Séphane Audoin-Rouzeau, accompagné d’un avant-propos de Sherry Buchanan et de Jessica Harrison- Hall, conservatrice d’art vietnamien au British Museum, ce témoignage exceptionnel apporte enfin un nouveau regard sur la guerre d’Indochine. Un livre salué à sa sortie par la presse anglo-saxonne : « Le livre de Pham Thanh Tâm est extraordinaire… Son histoire est incroyable, ses illustrations et son témoignage tout aussi mémorables » The Times.