Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
On a réuni dans un seul volume " L'homme faillible " et " La symbolique du Mal " qui ensemble formaient le second tome, publié en 1960, de la " Philosophie...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
On a réuni dans un seul volume " L'homme faillible " et " La symbolique du Mal " qui ensemble formaient le second tome, publié en 1960, de la " Philosophie de la volonté ", sous le titre commun : Finitude et culpabilité. Dans le premier ouvrage, on soutient la thèse selon laquelle la fragilité ontologique issue de la disproportion de soi à soi-même, illustrée tour à tour dans l'ordre du Penser, de l'Agir, puis du Sentir, n'est pas en soi mauvaise. La finitude n'est pas le mal. Dans le second volume, on s'emploie à montrer que la condition mauvaise de la volonté est d'ordre contingent et historique par rapport à la constitution essentielle de la volonté et relève d'une herméneutique des symboles et des mythes du mal qui structurent la mémoire de l'homme occidental, juif et grec.
On a réuni dans un seul volume L'homme faillible et La symbolique du Mal qui ensemble formaient le second tome, publié en 1960, de la Philosophie de la volonté, sous le titre commun : Finitude et culpabilité. Dans le premier ouvrage, on soutient la thèse selon laquelle la fragilité ontologique issue de la disproportion de soi à soi-même, illustrée tour à tour dans l'ordre du Penser, de l'Agir, puis du Sentir, n'est pas en soi mauvaise. La finitude n'est pas le mal. Dans le second volume, on s'emploie à montrer que la condition mauvaise de la volonté est d'ordre contingent et historique par rapport à la constitution essentielle de la volonté et relève d'une herméneutique des symboles et des mythes du mal qui structurent la mémoire de l'homme occidental, juif et grec.