Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'hérédité est, plus que jamais, avancée comme explication dernière, non seulement en biologie, mais aussi en psychologie, voire en sociologie. D'où...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
L'hérédité est, plus que jamais, avancée comme explication dernière, non seulement en biologie, mais aussi en psychologie, voire en sociologie. D'où une prolifération désordonnée de gènes ; gène de ceci, gène de cela, de tout et de n'importe quoi. De la couleur des yeux jusqu'à la myopathie, en passant par la schizophrénie, le cancer et l'altruisme, le gène est partout. Pourtant, cette notion - tout comme celle, connexe, d'hérédité - est l'une des plus mal définies de la biologie contemporaine, et la prolifération actuelle des discours généticiens tente vainement de masquer ce vide : faute de définir le gène, on le multiplie ; faute de préciser un concept, on le dissout dans la confusion et dans l'insignifiance.
Avec un grand souci didactique, André Pichot retrace ici les principales étapes de la génétique, du XIXe siècle jusqu'à nos jours, en s'appuyant sur les travaux de ses créateurs (Mendel, Weismann, De Vries, Johannsen, Morgan, Schrödinger, etc.). Il fait apparaître l'étonnant bricolage qui préside à l'avènement de cette discipline et se livre à une analyse critique qui contribue à combler le déficit théorique dont elle souffre aujourd'hui.
André Pichot, épistémologue et historien des sciences, est chercheur au CNRS. Il est l'auteur, entre autres, d'une Histoire de la notion de vie (Tel) et de Petite Phénoménologie de la connaissance (Aubier, 1991).