Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Pour connaître la vérité, on doit imaginer des myriades de mensonges. " Le mensonge est bien au cœur de ces deux récits où Wilde brosse le portrait...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
" Pour connaître la vérité, on doit imaginer des myriades de mensonges. " Le mensonge est bien au cœur de ces deux récits où Wilde brosse le portrait de deux imposteurs. Le premier, Cyril Graham, enquête sur l'attachement amoureux de Shakespeare pour un jeune acteur ; le second, Wainewright, est un écrivain faussaire et assassin.
Aux lecteurs victoriens, de tels écrits ne pouvaient que paraître scandaleux tant ils soulignaient la fascination de l'artiste pour de condamnables comportements. Les inclinations de Shakespeare, les turpitudes de Wainewright ne dissimulaient-ils pas quelques déviances secrètes chez l'auteur ? N'étaient-ils pas pour Wilde une manière d'avouer sa propre imposture ? Pour le lecteur moderne, l'essentiel est ailleurs : dans les clefs que livrent ses deux textes - réflexions sur le statut de l'œuvre d'art et sur la question, essentielle chez Wilde, de l'authenticité pour l'ensemble de son œuvre et, en particulier, pour Le Portrait de Dorian Gray.
"Pour connaître la vérité, on doit imaginer des myriades de mensonges". Le mensonge est bien au coeur de ces deux récits où Wilde brosse le portrait de deux imposteurs. Le premier, Cyril Graham, enquête sur l'attachement amoureux de Shakespeare pour un jeune acteur ; le second, Wainewright, est un écrivain faussaire et assassin. Aux lecteurs victoriens, de tels écrits ne pouvaient que paraître scandaleux tant ils soulignaient la fascination de l'artiste pour de condamnables comportements. Les inclinations de Shakespeare, les turpitudes de Wainewright ne dissimulaient-ils pas quelques déviances secrètes chez l'auteur ? N'étaient-ils pas pour Wilde une manière d'avouer sa propre imposture ? Pour le lecteur moderne, l'essentiel est ailleurs : dans les clefs que livrent ses deux textes- réflexions sur le statut de l'oeuvre d'art et sur la question, essentielle chez Wilde, de l'authenticité pour l'ensemble de son oeuvre et, en particulier, pour Le Portrait de Dorian Gray.