Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
J'ai repris, pour me laver l'esprit de tous les soucis du jour, les Orientales de Hugo. Mon ravissement rejoint celui de mon enfance... Tout y est: la...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
J'ai repris, pour me laver l'esprit de tous les soucis du jour, les Orientales de Hugo. Mon ravissement rejoint celui de mon enfance... Tout y est: la force, la grâce, le sourire et les plus pathétiques sanglots. Quelle ressource! Quel soulèvement poétique!
André Gide
Dès ses premiers recueils, Hugo renouvelle l'art poétique en l'essayant tout entier. Pour lui, toutes les voies doivent être empruntées, tous les genres de poésie conquis : il faut prouver sa force dans tous les domaines. Ainsi, les Odes et ballades (publiées en 1828 mais dont les poèmes sont pour la plupart de jeunesse), tantôt historiques, tantôt "rêveuses" ou métaphysiques, savent aussi bien donner à voir qu'à penser, et sous-tendre des arrière-plans engagés. Quant au "livre inutile de pure poésie" que sont Les Orientales (1829), il marque la réconciliation entre une poésie "matérielle" et descriptive et une poésie de l'âme, où le poète se veut parfaitement libre. Ces oeuvres aux tonalités variées sont similaires sur le plan technique : Hugo y insuffle un vent de modernité rythmique et prosodique, qui incitera Sainte-Beuve à le considérer comme "le plus grand inventeur de rythmes lyriques qu'ait eu la poésie française depuis Ronsard" .