C’est avec un grand plaisir que j’ai reçu ce livre qui voyage au gré de nos désirs grâce à l’auteure Françoise Guérin que je remercie beaucoup de ce geste altruiste.
J’ai lu, il y a quelques temps, « à la vue, à la mort » et j’avais aimé suivre ce commissaire-profileur Lanester. Ce n’est pas un super-héros à l’américaine. Ce n’est pas non plus un flic blindé, tombeur de jupons, alcoolique…. Non juste un homme normal (Et oui, j’ai osé la normalité !!!)
Jeunes filles à croquer ??? Cela sent son peintre pédophile à plein nez ou son tueur en série qui
aimerait croquer des jeunes filles… Que voulez-vous, il y a plusieurs acceptations du mot croquer !!! Allez, hop, je plonge du côté des jeunes filles en fleurs. Mais…. Ce n’est pas ça du tout !
Lanester, son équipe désordonnée mais qui le suit comme un seul homme, va se coltiner une enquête sur la disparition de jeunes filles anorexiques suivant des soins dans un certain établissement alpestre. Vous mettez Lanester and Co dans les Alpes et vous avez une équipe qui est perdue, surtout qu’elle doit travailler « en étroite collaboration » avec la gendarmerie locale commandée par le très séduisant et chef dans l’âme : le commandant Pierrefeu.
Bien entendu, ils se regardent comme chat et chien d’autant Pierrefeu a un certain ascendant sur notre cher Lanester qui déprime loin de la pollution parisienne et de ses repères de citadin. Notre profileur chéri n’est pas au mieux de sa forme depuis la résolution de l’énigme précédente, « A la vue, à la mort », consulte sa psy, fait câlin avec l’infirmière qui s’occupe de son jeune frère enfermé dans son silence.
Le professionnel qu’il est s’attachera à des petits riens pour finir par découvrir les acceptations du mot « Croquer ». Tel une fourmi, il amasse des informations improbables, sans liens entre elles, tissent petit à petit sa toile, je te fais un nœud ici, je te lance un fil dans cette direction…. jusqu’à franchir la porte du labyrinthe au sens propre et figuré du terme. Le suspens va crescendo jusqu’à la fin et quelle fin !
Françoise Guérin m’a encore offert une nuit blanche entre les mains de Lanester. J’ai apprécié ses analyses de l’anorexie, de la culpabilité, du non-dit. Une analyse très fine et intelligente qu’elle distille pour mon plus grand plaisir.
J’attends avec impatience la suite des aventures de Lanester et sa compagnie de branquignoles super-doués.
J’ai lu ce livre il y a quelques deux mois et….. j’ai oublié d’en rédiger la chronique. Ne l’ayant pas relu, mon commentaire retrace ce qu’il me reste dans le coin arrière-gauche de ma jolie petite cervelle et je vois que ce bouquin a laissé quelques indices (normal pour un polar)
Merci Françoise Guérin de faire voyager ce livre vers nous lecteurs.
En quête de croqueurs
C’est avec un grand plaisir que j’ai reçu ce livre qui voyage au gré de nos désirs grâce à l’auteure Françoise Guérin que je remercie beaucoup de ce geste altruiste.
J’ai lu, il y a quelques temps, « à la vue, à la mort » et j’avais aimé suivre ce commissaire-profileur Lanester. Ce n’est pas un super-héros à l’américaine. Ce n’est pas non plus un flic blindé, tombeur de jupons, alcoolique…. Non juste un homme normal (Et oui, j’ai osé la normalité !!!)
Jeunes filles à croquer ??? Cela sent son peintre pédophile à plein nez ou son tueur en série qui aimerait croquer des jeunes filles… Que voulez-vous, il y a plusieurs acceptations du mot croquer !!! Allez, hop, je plonge du côté des jeunes filles en fleurs. Mais…. Ce n’est pas ça du tout !
Lanester, son équipe désordonnée mais qui le suit comme un seul homme, va se coltiner une enquête sur la disparition de jeunes filles anorexiques suivant des soins dans un certain établissement alpestre. Vous mettez Lanester and Co dans les Alpes et vous avez une équipe qui est perdue, surtout qu’elle doit travailler « en étroite collaboration » avec la gendarmerie locale commandée par le très séduisant et chef dans l’âme : le commandant Pierrefeu.
Bien entendu, ils se regardent comme chat et chien d’autant Pierrefeu a un certain ascendant sur notre cher Lanester qui déprime loin de la pollution parisienne et de ses repères de citadin. Notre profileur chéri n’est pas au mieux de sa forme depuis la résolution de l’énigme précédente, « A la vue, à la mort », consulte sa psy, fait câlin avec l’infirmière qui s’occupe de son jeune frère enfermé dans son silence.
Le professionnel qu’il est s’attachera à des petits riens pour finir par découvrir les acceptations du mot « Croquer ». Tel une fourmi, il amasse des informations improbables, sans liens entre elles, tissent petit à petit sa toile, je te fais un nœud ici, je te lance un fil dans cette direction…. jusqu’à franchir la porte du labyrinthe au sens propre et figuré du terme. Le suspens va crescendo jusqu’à la fin et quelle fin !
Françoise Guérin m’a encore offert une nuit blanche entre les mains de Lanester. J’ai apprécié ses analyses de l’anorexie, de la culpabilité, du non-dit. Une analyse très fine et intelligente qu’elle distille pour mon plus grand plaisir.
J’attends avec impatience la suite des aventures de Lanester et sa compagnie de branquignoles super-doués.
J’ai lu ce livre il y a quelques deux mois et….. j’ai oublié d’en rédiger la chronique. Ne l’ayant pas relu, mon commentaire retrace ce qu’il me reste dans le coin arrière-gauche de ma jolie petite cervelle et je vois que ce bouquin a laissé quelques indices (normal pour un polar)
Merci Françoise Guérin de faire voyager ce livre vers nous lecteurs.