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« Demain à l'aube, je partirai les mains vides Je suivrai le tracé que tu me fais ; Me sont offertes toutes les aides, Ma nature est pleine de tes bienfaits. C'est bien ! C'est beau ! Éternelle fête ! Ma nourriture, c'est toi, l'abri, le nid, Comme l'oiseau qui vole très haut. » Une écriture intimiste, tout en retenue et en pudeur, attentive aux détails, aux moments, aux élans du cour, pour un recueil où la langue se fait dentelle musicale...
Nostalgie, contemplation, illumination, sentiments mystiques et amoureux imprègnent ainsi cette ouvre berçante et captivante signée R. Bourlier.