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Mêlant récit romanesque et enquête historique, l'auteur raconte l'histoire d'un tableau célèbre.
L'atmosphère de cette toile est étrange, la scène énigmatique, comme dans tous les tableaux du peintre, c'est vrai ; Hopper est un ensorceleur.
Ses peintures, baignées de grande solitude, de mélancolie sourde, subliment la banalité et intriguent. Rêveries inquiètes qui nous entraînent dans un monde intranquille, peuplé de fantômes esseulés.
Artificiel
Malgré la richesse des informations qu'enferment ces pages, ce livre accuse une certaine lourdeur stylistique. En effet, Catherine Guennec se glisse dans l'esprit de Joséphine Hopper sans grâce, en usant et abusant d'exclamations et de points de suspension qui donnent une impression d'artificialité, à peine rattrapée par quelques descriptions plus poétiques. Le manque de précision bibliographique est aussi à souligner (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/03/21/les-heures-suspendues-selon-hopper-catherine-guennec/)