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Depuis les efforts - frénétiques - déployés par les firmes phytosanitaires, pour vendre leurs pesticides à grands coups de publicités, jusqu'aux arguments racoleurs des fabricants de matériel scientifique, pour vendre leur marchandise aux chercheurs, un seul objectif : faire admettre au consommateur-client qu'il peut se laisser intoxiquer en toute quiétude. En effet, l'industrie médicale est là (surtout s'il sait se montrer généreux) pour déceler les maladies que pourrait lui occasionner un certain mode de vie bien orchestré.
Résumons :
1 - Vous devez absolument vous inquiéter pour votre santé, ce qui vous conduira à renflouer les caisses des laboratoires qui, en retour, vous prendront totalement en charge.
Les uns fourniront à vos aliments les pesticides ("nocifs-dangereux"), dont ils analyseront ensuite les résidus toxiques, et les autres mettront au point les médicaments destinés à en traiter les effets sur votre santé.
2 - En vertu du principe économique de l'accélérateur Keynésien, on ne justifiera, évidemment, l'emploi et l'investissement - en Recherche et Développement - que par l'accroissement des risques à combattre, et donc du degré d'intoxication, dont la crainte - et éventuellement les effets - incombent au client.
C'est donc bien l'économie qui reste maître du jeu, du simple fait qu' « il faut que ça rapporte ».
Peu importent les dégâts, pourvu qu'il y ait (au moins en perspective) création d'emplois. et surtout bénéfices !
Certes, mais qu'adviendra-t-il du tout-puissant concept de "monnaie", lorsque personne ne sera plus là pour en faire usage. ?
Proverbe : "Un combattant intéressé se trompe facilement d'ennemi".