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- Nombre de pages126
- FormatePub
- ISBN2-213-68914-8
- EAN9782213689142
- Date de parution26/05/2004
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille162 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard
Résumé
Le « toutounier » est le divan que les quatre soeurs Eudes ont gardé en souvenir de leur enfance. Il est leur refuge quand la vie les malmène.
Alice, qui a perdu son mari ? comme le raconte Duo, roman auquel Le Toutounier fait suite ? , vient en convalescence sentimentale chez ses soeurs. Mais leurs vies n?ont rien qui puissent la consoler, puisque chacune se débat dans des aventures qui l?accaparent.
C?est la croisée de ces quatre destinées qui forme l?intrigue du roman.
Gai et léger, si l?on veut, ou sombre et pessimiste sur la condition des femmes « libérées » ? selon l?optique de 1938 ?, si l?on préfère, le roman reste en équilibre sur le fil et laisse au lecteur le soin de choisir son interprétation . « Peu de romans nous obligent plus directement, par exemple, à comprendre ce qu?est une famille, de quels liens elle est tissée. Comme peu de romans nous rappellent mieux le langage des choses, des rues, des maisons et des êtres.
Ajoutez que jamais la langue qu?écrit Colette, si pure et si directe, ne dresse une barrière devant le lecteur, si simple qu?il puisse être : on se dit parfois que ce n?est pas un mince mérite » (André Ulmann, Messidor, 27 janvier 1939).
Gai et léger, si l?on veut, ou sombre et pessimiste sur la condition des femmes « libérées » ? selon l?optique de 1938 ?, si l?on préfère, le roman reste en équilibre sur le fil et laisse au lecteur le soin de choisir son interprétation . « Peu de romans nous obligent plus directement, par exemple, à comprendre ce qu?est une famille, de quels liens elle est tissée. Comme peu de romans nous rappellent mieux le langage des choses, des rues, des maisons et des êtres.
Ajoutez que jamais la langue qu?écrit Colette, si pure et si directe, ne dresse une barrière devant le lecteur, si simple qu?il puisse être : on se dit parfois que ce n?est pas un mince mérite » (André Ulmann, Messidor, 27 janvier 1939).
Le « toutounier » est le divan que les quatre soeurs Eudes ont gardé en souvenir de leur enfance. Il est leur refuge quand la vie les malmène.
Alice, qui a perdu son mari ? comme le raconte Duo, roman auquel Le Toutounier fait suite ? , vient en convalescence sentimentale chez ses soeurs. Mais leurs vies n?ont rien qui puissent la consoler, puisque chacune se débat dans des aventures qui l?accaparent.
C?est la croisée de ces quatre destinées qui forme l?intrigue du roman.
Gai et léger, si l?on veut, ou sombre et pessimiste sur la condition des femmes « libérées » ? selon l?optique de 1938 ?, si l?on préfère, le roman reste en équilibre sur le fil et laisse au lecteur le soin de choisir son interprétation . « Peu de romans nous obligent plus directement, par exemple, à comprendre ce qu?est une famille, de quels liens elle est tissée. Comme peu de romans nous rappellent mieux le langage des choses, des rues, des maisons et des êtres.
Ajoutez que jamais la langue qu?écrit Colette, si pure et si directe, ne dresse une barrière devant le lecteur, si simple qu?il puisse être : on se dit parfois que ce n?est pas un mince mérite » (André Ulmann, Messidor, 27 janvier 1939).
Gai et léger, si l?on veut, ou sombre et pessimiste sur la condition des femmes « libérées » ? selon l?optique de 1938 ?, si l?on préfère, le roman reste en équilibre sur le fil et laisse au lecteur le soin de choisir son interprétation . « Peu de romans nous obligent plus directement, par exemple, à comprendre ce qu?est une famille, de quels liens elle est tissée. Comme peu de romans nous rappellent mieux le langage des choses, des rues, des maisons et des êtres.
Ajoutez que jamais la langue qu?écrit Colette, si pure et si directe, ne dresse une barrière devant le lecteur, si simple qu?il puisse être : on se dit parfois que ce n?est pas un mince mérite » (André Ulmann, Messidor, 27 janvier 1939).























