Le soulier du mort - E-book - Multi-format

BRINGER Rodolphe

Note moyenne 
À Rocheplate, Garnoulin est mort ! En rentrant du dîner posthume organisé en l'honneur de son défunt ami, Bastidon a la désagréable surprise, sur... Lire la suite
1,49 € E-book - Multi-format
Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants :
Téléchargement immédiat
Dès validation de votre commande
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier

Résumé

À Rocheplate, Garnoulin est mort ! En rentrant du dîner posthume organisé en l'honneur de son défunt ami, Bastidon a la désagréable surprise, sur le chemin menant chez lui, de découvrir une chaussure... avec un pied à l'intérieur. Sans nul doute, la chaussure et le pied appartiennent à Garnoulin. Après les premiers émois passés, les autorités font ouvrir le cercueil du mort. Horreur ! Le corps trouvé n'est pas celui de Garnoulin, mais d'un jeune homme inconnu poignardé en plein cour. Le commissaire ROSIC, chargé de l'enquête, va être confronté à l'une des plus étranges affaires de sa légendaire carrière.

Caractéristiques

  • Caractéristiques du format Mobipocket
    • Protection num.
      pas de protection
  • Caractéristiques du format ePub
    • Protection num.
      pas de protection
  • Caractéristiques du format Streaming
    • Protection num.
      pas de protection

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

À propos de l'auteur

Biographie de BRINGER Rodolphe

Rodolphe Bringer de son vrai nom Rodolphe Béranger, né à Mondragon le 4 mars 1871 - mort à Pierrelatte le 3 mai 1943, était un écrivain et journaliste français. Il collabora probablement à L'Humanité, et certainement au Sourire (il en fut le secrétaire de rédaction puis le rédacteur en chef quand le titre devint Le Sourire de France). Pendant la Première Guerre mondiale, il donne des échos à L'Heure et des articles à La Rampe, Le Bonnet rouge, Le Journal du Peuple, Le Front.
Il participe à la revue La Baïonnette en 1916. Il devient journaliste au Canard enchaîné de 1916 à 1935. Il s'occupe d'un magazine intitulé La Petite Semaine, composée de quatre feuilles insérées dans Le Sourire, un grand hebdomadaire humoristique de l'époque, dont il prend la rédaction en chef en 1917, jusqu'en 1922. Le directeur du Canard enchaîné, Maurice Maréchal, lance un journal humoristique nommé Le Pélican fin avril 1921, dont Rodolphe Bringer est le rédacteur en chef et directeur-gérant.
Ce journal tint quelques mois, puis disparut devant la montée du journal Le Merle Blanc. Il était en fait une pâle copie du Canard enchaîné, journal humoristique, publiant « des romans, des contes, des nouvelles, des échos, des dessins », des articles dus à la plume de quelques-uns des collaborateurs du Canard enchaîné et d'autres amis proches. Rodolphe Bringer s'éloigne du Canard enchaîné vers 1935.
Il est l'auteur de romans policiers, et d'ouvrages destinés à la jeunesse. Il mourut en 1943, dans sa chère retraite de Gonfle-Boufigue, alias Pierrelatte dans la Drôme. Son fils Jean Bringer, né le 28 août 1916 à Vincennes, fut assassiné par les Allemands sur le dépôt de munitions du Domaine de Baudrigues à Roullens le 19 août 1944 avec treize de ses camarades. Jean-Marie Bringer, son petit-fils et fils de Jean, unique descendant, grand défenseur de la Laïcité et adepte du Pastafarisme s'est éteint le 1er janvier 2011...
(Wikipédia)

Vous aimerez aussi

Derniers produits consultés

1,49 €