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Pour raconter cette histoire, il a fallu créer un monde imaginaire. Cela était nécessaire pour libérer l'esprit, pour le laisser voyager dans le temps, sans qu'il ne s'attarde trop à un lieu ou un moment précis. Nous sommes loin dans le passé ou dans le futur.
Le gnome, muni d'une grosse tête sur un petit corps et affublé de grands pieds, était entouré d'une étrange lumière. Il se déplaçait avec grande légèreté, comme s'il était en suspension.
Il arborait un sourire jovial. Il ouvrit le portillon, pénétra dans le jardinet de Daniel et s'approcha lentement de la porte d'entrée.
Brusquement, il tourna la tête et s'adressa à An. Celui-ci le regarda, tout étonné d'entendre les paroles d'un homme dont les lèvres ne bougeaient pas.
Le mystère de Gunburg
À la dernière ligne du livre, Michel Parnia laisse la porte grand ouverte à une suite. Si on fait abstraction de la théorie et de la technique, on pourrait le mettre au rayon des jeunes adultes.