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« Elle pensait pourtant avoir connu la violence de l'intensité amoureuse auparavant. L'abîme de sa perte. Elle pensait ne plus pouvoir, ne plus vouloir, ne plus savoir. Marie avait fait voler en éclats ses convictions en quelques secondes seulement. Véritable prise d'otage de son cour et de son âme. Ce sourire et ce regard l'avaient percutée de plein fouet... » La passion mène l'esprit vers ce qui est bon pour le corps, elle laisse les sentiments et l'intuition reconquérir tous les espaces mais elle peut aussi conduire à la perte.
Marie y plonge sans retenue, elle s'y débat et s'y noie sous le poids des questions ressurgies. Après avoir flirté avec la passion, dans le premier roman « chambre 216 » publié par l'auteur, Marie découvre dans ce deuxième volet, la résurgence d'un combat perpétuel à travers les émotions passionnelles, source de vie et de mort.
