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De 1888 à 1914, le destin d'Alexandrine, guidée par sa passion de la cuisine, passion qu'elle reçoit et qu'elle transmettra. Toute une page richement évoquée du patrimoine stéphanois : passementerie, mines... Par l'auteure de La Maison du Cap et La Maison de Charlotte.
Saint-Étienne, 1888. La jeune Alexandrine travaille comme passementière, métier qu'elle ne prise guère. Sa seule distraction : aller à la vogue le dimanche.
Sa vie prend des contours pleins de promesses après sa rencontre avec Marin, aubergiste des Bois noirs.
Il devient son époux. Pour le meilleur : dans son auberge renommée qui attire la bourgeoisie locale et les premiers touristes du massif du Pilat, Alexandrine apprend avec bonheur la science et les tours de main de la cuisine. Une vraie passion révélée grâce à la grand-mère de Marin.
Pour le pire aussi : son mariage n'est pas heureux. Avec sa petite fille dans les bras, elle est chassée de l'auberge par sa belle-mère à la suite d'un drame.
Alexandrine retrouve bientôt une certaine quiétude aux côtés de Félix, un veuf sérieux, mineur à Villars.
De déroutes en épreuves - elle est séparée de sa fille -, Alexandrine garde son rêve vivace : posséder un jour son auberge pour y préparer une " cuisine de femmes ", comme les " mères " savent le faire à Lyon...
Il faudra des années et un lieu magnifique, La Roche au Loup, au cour de la campagne stéphanoise, pour que le rêve devienne enfin réalité...