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Denise Gimenez Ramos relève un défi : celui de considérer les maladies organiques, les maladies physiques d'un point de vue psychologique. Héritiers d'une culture qui scinde l'homme en deux parties distinctes, corps d'un côté et psyché de l'autre, médecins et psychologues sont actuellement toujours confrontés aux préjugés qui séparent encore ces deux champs de connaissance. Ainsi, chacun reste avec sa « moitié » tout en pensant que celle-ci est la « totalité ».
Ce réductionnisme schizophrène nuit essentiellement au malade qui se perd entre ses différentes perceptions, son histoire personnelle et le savoir scientifique.