La Huitième Vie nous envoie en Géorgie, dans les 1917. Stasia est la fille d'un chocolatier de talent et qui rêve d'une carrière de danseuse étoile à Paris. Mais lorsqu'elle tombe amoureuse de Simon Iachi, premier-lieutenant de la Garde blanche, la révolution les pousse peu de temps après à se marier. Ce mariage les entraine sur une voie différente, bouleversant complètement leur vie. Nous faisons ensuite un passage en 2006, en Allemagne, où Niza, l'arrière-petite-fille de Stasia, s'est installée. Lorsque Brilka, sa nièce de douze ans, s'enfuit de chez elle, c'est à Niza d'aller
la récupérer. C'est l'occasion pour Niza d'écrire un livre sur l'histoire de la famille Iachi, sur six générations.
Je ne connaissais pas du tout Nino Haratischwili avant de commencer La huitième vie, mais maintenant je vais m'y intéresser de très près ! Et Piranha est également une maison d'édition que je vais suivre : seulement deux livres lus pour l'instant chez eux, et deux coups de cœur ! Mais je savais que je partais bien avec La huitième vie, car il y a tout ce que j'aime dans le résumé : une histoire qui court sur plusieurs générations, dans différents pays et villes, des drames mais aussi de la joie, des rivalités, de la survie, de l'amour, de la rage... Le tout dans une époque difficile, parsemée de guerre, d'un contexte politique très difficile, et où les relations sont souvent ambiguës !
Avec d'abord Christine et Stasia, les deux sœurs si différentes, nous commençons l'histoire de la famille Iachi, nous passons ensuite à Kostia et Kitty, puis à Daria et Niza, et finir l'histoire avec Niza et Brilka... Il est difficile de parler clairement de La huitième vie, tant ce livre est dense, bourré de faits, de détails et de personnages. C'est une œuvre très souvent tragique que nous offre Nino Haratischwili, parsemée de luttes et de coups durs. Même si parfois nous tombons, et que nous avons du mal à nous relever, que la famille nous abandonne, beaucoup trouvent la force de continuer et de se relever, malgré tout. Car la vie n'est jamais facile, il faut souvent batailler... Et on peut dire que les femmes ont la vie dure ! Mais, malgré tout, La huitième vie nous fait voir qu'il y a de l'espoir et que nous ne devons jamais abandonner.
Un livre que je ne peux que recommander, La huitième vie est à lire absolument !
Brillant !
La Huitième Vie nous envoie en Géorgie, dans les 1917. Stasia est la fille d'un chocolatier de talent et qui rêve d'une carrière de danseuse étoile à Paris. Mais lorsqu'elle tombe amoureuse de Simon Iachi, premier-lieutenant de la Garde blanche, la révolution les pousse peu de temps après à se marier. Ce mariage les entraine sur une voie différente, bouleversant complètement leur vie. Nous faisons ensuite un passage en 2006, en Allemagne, où Niza, l'arrière-petite-fille de Stasia, s'est installée. Lorsque Brilka, sa nièce de douze ans, s'enfuit de chez elle, c'est à Niza d'aller la récupérer. C'est l'occasion pour Niza d'écrire un livre sur l'histoire de la famille Iachi, sur six générations.
Je ne connaissais pas du tout Nino Haratischwili avant de commencer La huitième vie, mais maintenant je vais m'y intéresser de très près ! Et Piranha est également une maison d'édition que je vais suivre : seulement deux livres lus pour l'instant chez eux, et deux coups de cœur ! Mais je savais que je partais bien avec La huitième vie, car il y a tout ce que j'aime dans le résumé : une histoire qui court sur plusieurs générations, dans différents pays et villes, des drames mais aussi de la joie, des rivalités, de la survie, de l'amour, de la rage... Le tout dans une époque difficile, parsemée de guerre, d'un contexte politique très difficile, et où les relations sont souvent ambiguës !
Avec d'abord Christine et Stasia, les deux sœurs si différentes, nous commençons l'histoire de la famille Iachi, nous passons ensuite à Kostia et Kitty, puis à Daria et Niza, et finir l'histoire avec Niza et Brilka... Il est difficile de parler clairement de La huitième vie, tant ce livre est dense, bourré de faits, de détails et de personnages. C'est une œuvre très souvent tragique que nous offre Nino Haratischwili, parsemée de luttes et de coups durs. Même si parfois nous tombons, et que nous avons du mal à nous relever, que la famille nous abandonne, beaucoup trouvent la force de continuer et de se relever, malgré tout. Car la vie n'est jamais facile, il faut souvent batailler... Et on peut dire que les femmes ont la vie dure ! Mais, malgré tout, La huitième vie nous fait voir qu'il y a de l'espoir et que nous ne devons jamais abandonner.
Un livre que je ne peux que recommander, La huitième vie est à lire absolument !