La France en Tunisie. Récit historique
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- FormatMulti-format
- ISBN978-2-38111-275-6
- EAN9782381112756
- Date de parution05/10/2021
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurLM Publishers
Résumé
Lorsqu'en 1827, on apprit à Tunis que la guerre venait d'éclater entre la France et l'Algérie, la population de cette ville s'en montra ravie. En tout temps, les deux régences voisines avaient été rivales; elles s'étaient livré de sanglantes batailles sur leurs frontières, et les Tunisiens, ayant comme l'intuition du futur triomphe de nos armes, se montraient fort contents. Le bey, prié par le dey d'Alger et le représentant de la Turquie de se joindre à eux pour nous combattre, leur opposa des refus nettement exprimés.
M. Mathieu de Lesseps, alors notre consul général à Tunis, en récompensa le souverain de la régence, en découvrant une conspiration qui devait lui faire perdre le pouvoir et peut-être la vie. A la nouvelle que l'armée française avait pris et occupait Alger, la joie fut donc générale dans Tunis. Était-elle sincère? Il importe peu de le savoir, mais, ce qu'il y a de certain, c'est qu'à dater de cette époque notre influence y fut prépondérante...
M. Mathieu de Lesseps, alors notre consul général à Tunis, en récompensa le souverain de la régence, en découvrant une conspiration qui devait lui faire perdre le pouvoir et peut-être la vie. A la nouvelle que l'armée française avait pris et occupait Alger, la joie fut donc générale dans Tunis. Était-elle sincère? Il importe peu de le savoir, mais, ce qu'il y a de certain, c'est qu'à dater de cette époque notre influence y fut prépondérante...
Lorsqu'en 1827, on apprit à Tunis que la guerre venait d'éclater entre la France et l'Algérie, la population de cette ville s'en montra ravie. En tout temps, les deux régences voisines avaient été rivales; elles s'étaient livré de sanglantes batailles sur leurs frontières, et les Tunisiens, ayant comme l'intuition du futur triomphe de nos armes, se montraient fort contents. Le bey, prié par le dey d'Alger et le représentant de la Turquie de se joindre à eux pour nous combattre, leur opposa des refus nettement exprimés.
M. Mathieu de Lesseps, alors notre consul général à Tunis, en récompensa le souverain de la régence, en découvrant une conspiration qui devait lui faire perdre le pouvoir et peut-être la vie. A la nouvelle que l'armée française avait pris et occupait Alger, la joie fut donc générale dans Tunis. Était-elle sincère? Il importe peu de le savoir, mais, ce qu'il y a de certain, c'est qu'à dater de cette époque notre influence y fut prépondérante...
M. Mathieu de Lesseps, alors notre consul général à Tunis, en récompensa le souverain de la régence, en découvrant une conspiration qui devait lui faire perdre le pouvoir et peut-être la vie. A la nouvelle que l'armée française avait pris et occupait Alger, la joie fut donc générale dans Tunis. Était-elle sincère? Il importe peu de le savoir, mais, ce qu'il y a de certain, c'est qu'à dater de cette époque notre influence y fut prépondérante...



