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L'élève sorcier, de Goethe, un texte qui a inspiré le poème symphonique de Paul Dukas, L'apprenti sorcier, dont s'est ensuite inspiré Walt Disney pour son long-métrage Fantasia. On remonte en quelque sorte à la source, avec cette morale implicite que l'élève, avant de dépasser le maître, doit s'appliquer à rester humble.
Ivatchko et la sorcière, d'Alexandre Afanassiev, un joli conte populaire russe, à l'atmosphère fantastique, avec un personnage de sorcière délicieusement horrible, mais finalement pas si effrayant.
L'oiseau d'ourdi, des frères Grimm.
Cette fois c'est un sorcier qui n'est pas sans évoquer un certain Barbe Bleue. Celui-ci viendra chercher une à une trois sours. Les deux premières seront victimes de leur curiosité, la troisième, curieuse elle aussi, mettra son intelligence au service de son défaut.
La reine des neiges, d'Andersen, conte danois qui se déroule comme une épopée fantastique, au cour des terres glacées du Grand Nord.
Un sorcier a fabriqué un miroir magique, qui se casse. Deux des morceaux ensorcelés se coincent dans l'oil et le cour de Kay, jeune garçon innocent. Un jour Kay disparaît. Gerda, son amie, commence à le chercher. Retrouvera-t-elle Kay à temps pour rompre le maléfice ?
