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« Toi qui sais lire dans mes yeux Ne vois-tu rien, n'y lis-tu pas Que si tu me disais adieu Mon cour ne résisterait pas ? Les yeux sont les reflets de l'âme Mon cour le reflet de ton cour Mon chagrin le fruit de tes larmes Mes larmes le fruit de la peur » Du recueil de Robert Henri Delcour émerge l'image d'une femme qui serait havre où se reposer, port vers lequel revenir, abri où se réfugier... L'image d'une femme forte, auprès de laquelle l'homme se met à nu.
Porté ainsi par un doux souffle romantique qui expose les émotions dans toute leur vérité, consistant en un total dévoilement de soi, renversant les traditionnelles postures masculines, cette ouvre touche par la sincérité qu'il s'en dégage.