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« Il y a des lignes noires, des barreaux de fenêtre
Il y a des lignes faibles (un mot trop lourd les brise)
Il y en a qui font l'arc d'un sourire assez rare,
Tes cheveux engourdis, mon piano intérieur.
J'ai un penchant sans fin pour la ligne invisible,
Extensible à jamais, et je la suis toujours.
Ce guide inattendu m'a mené vers un phare ;
Il y avait du vent, et je l'ai respiré.
»
Après le vide-sanitaire, JF Kogan revient avec « Ceci », un recueil de poésies dont les paroles auraient pu faire une romance, ou une chanson.