Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'art et le mythe sont au centre de la pensée de Schelling. Le séminariste de Tübingen envisage une nouvelle mythologie et le philosophe de l'Identité...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 5 octobre et le 15 octobre
En librairie
Résumé
L'art et le mythe sont au centre de la pensée de Schelling. Le séminariste de Tübingen envisage une nouvelle mythologie et le philosophe de l'Identité voit en l'art une effigie de la philosophie : manifestant l'Absolu, il est mythologie, représentation et histoire des dieux construisant idéalement ce que la nature produit réellement. Rompant avec le projet systématique de l'idéalisme spéculatif, la dernière philosophie substitue à la philosophie de l'art une philosophie de la mythologie, décrivant l'odyssée de la conscience aux prises avec un processus théogonique débouchant sur la Révélation : la mythologie trouve ainsi en elle-même le principe immanent de son explication. Schelling n'accomplit alors l'idéalisme allemand qu'au prix d'une rupture avec la métaphysique moderne, oscillant entre un tournant théologique et une déconstruction du logocentrisme. Cette persistance de la mythologie fait la singularité de Schelling dans l'idéalisme allemand. La continuité entre mythologie et Révélation le rattache secrètement à Hölderlin, à la manière dont le poète relie le Christ à Héraklès et Dionysos. S'ouvrent ainsi la possibilité d'une phénoménologie du divin et des problématiques contemporaines du mythe, ainsi que l'irruption des questions conjointes de l'existence, de l'être et de l'événement, qui ne cessent de hanter la pensée après la métaphysique accomplie.