Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Flavius Josèphe, l'historien juif du Ier siècle (37-100) n'a pas fini de nous renseigner sur le milieu des premiers chrétiens et du Nouveau Testament....
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Livré chez vous entre le 29 octobre et le 2 novembre
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Résumé
Flavius Josèphe, l'historien juif du Ier siècle (37-100) n'a pas fini de nous renseigner sur le milieu des premiers chrétiens et du Nouveau Testament. Examinant son idéologie et ses méthodes de travail, cette étude se développe selon deux axes : l'écrivain et ses sources. Josèphe se veut un historien objectif, mais sa perspective est celle d'un défenseur du judaïsme devant Rome - d'où certaines réinterprétations un peu malaisées. D'autre part il s'attache à ne rien perdre de la documentation disparate qu'il a rassemblée. Il en résulte à l'occasion des doublets ou des incohérences que l'analyse peut parfois rectifier. Les notices sur Jésus, Jean Baptiste et Jacques sont bien de Josèphe, mais elles n'ont pas toutes la même origine. Celle sur Jacques provient de Jérusalem. Il fut lapidé en 62 pour blasphème, au terme d'un procès suscité par Anân, l'unique grand-prêtre sadducéen connu ; ce fut une affaire purement juive, sans interférence romaine. Jacques, grandi par le martyre, devint un modèle du Serviteur souffrant, dont on trouve des traces dans le Nouveau Testament. Celles sur Jean Baptiste et Jésus proviennent d'une confession de foi baptismale des chrétiens de Rome, recueillie par Josèphe vers 90. Centrée sur le kérygme paulinien et sans lien littéraire avec les évangiles, elle établit un contraste entre le baptême de repentance de Jean et le baptême au nom de Jésus ressuscité. Quant à la Résurrection, elle est étudiée à partir de ceux qui la nient, les Sadducéens, qui, en " réformateurs ", prônent un retour à l'Ecriture stricte.