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Habiter en poète un monde en guerre, c'est ce que fait Ali Thareb corps et âme. Né en 1988 peu après la fin de la guerre Iran-Irak, la poésie est pour lui vitale. " La poésie me permet de me sauver et d'essuyer, ne serait-ce qu'un petit peu, le sang qui coule sur ma vie. En tant que membre de la Milice de la culture, j'attire l'attention à travers mes textes, sur le lieu du crime, sur le sang. J'essaie constamment d'ouvrir notre mort quotidienne avec toutes ses facettes, sur les limites du mot, le mot qui pousse non pas comme une rose mais comme une balle.
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