Biographie d'Alexandre Vialatte
Alexandre Vialatte (1901-1971), publie ses premières traductions dans la Revue rhénane, d'abord de Kafka, puis de Goethe, Nietzsche et Thomas Mann. De 1934 à 1937, il poursuit sa double activité de traducteur et de journaliste à Paris. Durant l'Occupation, il travaille à plusieurs romans qui ne paraîtront que longtemps après sa mort : La Dame du job, La Maison du joueur de flûte. En 1950, il obtient en Suisse le prix Charles Veillon pour son ouvrage Les Fruits du Congo. Jusqu'à sa mort, sans renoncer à ses projets, il privilégie le journalisme et s'y épanouit. Ses chroniques ont été rassemblées en différents volumes parmi lesquels Dernières nouvelles de l'Homme, La Porte de Bath-Rabbim, Et c'est ainsi qu'Allah est grand, L'éléphant est irréfutable ou encore Éloge du homard et autres insectes utiles.