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Swift, Defoe, Addison et Steele composèrent à l'orée du XVIIIe siècle des feuilles volantes, pamphlets, essais, qui furent à l'origine de notre journal. A partir de 1711 parut le Spectator qui fit partie de cette effervescence de Londres qui comptait rien de moins que cinq cents cafés où s'échangeaient lectures de journaux, propos politiques, discussions religieuses, controverses. Terreau de ce phénomène moderne : l'opinion publique.
Nous republions pour la première fois en français depuis le XVIIIe siècle les bonnes feuilles d'un des deux ou trois plus célèbres journaux du temps.