Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Tout homme recherche le bonheur en cette vie. Mais il arrive qu'une expérience individuelle ou collective pose le problème de la fragilité congénitale...
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Livré chez vous entre le 1 octobre et le 3 octobre
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Résumé
Tout homme recherche le bonheur en cette vie. Mais il arrive qu'une expérience individuelle ou collective pose le problème de la fragilité congénitale de l'humanité. Cette fragilité soulève la question de l'intervention divine dans le monde et éventuellement d'un au-delà de ce monde et d'une possible victoire sur la mort et l'injustice. L'évangile propose le paradoxe des Béatitudes : les pauvres sont déjà heureux, mais pas encore totalement (conférences de J.-M. Van Cangh et Th. Soding). Les Béatitudes ne sont pas une renonciation aux biens terrestres devant les puissances du mal, mais une anticipation joyeuse de la béatitude eschatologique (Cl. Geffré). La doctrine du péché originel, correctement comprise, peut aider à comprendre l'expérience de la faute à l'intérieur de la recherche du bonheur (J. Famerée). Le programme éthique des Béatitudes est étudié ensuite à la lumière de Grégoire de Nysse (S. G. Hall). O. H. Pesch étudie le désir naturel chez St. Thomas d'Aquin. Ce désir ne peut pas aboutir par ses propres forces, mais il ne peut pas être vain, puisque Dieu a créé la nature humaine avec le dessein de lui communiquer quelque chose de sa propre béatitude. W. Pannenberg aborde alors l'espérance chrétienne proprement dite en montrant qu'elle ne repose pas sur le désir de l'homme, mais sur Dieu lui-même qui a ressuscité Jésus de la mort. A. Heron présente les textes de l'Assemblée de Westminster (1640) qui ont pris forme dans le grand et le petit Catéchisme et les compare aux Institutes de Calvin (1559). Christine Axt-Piscalar étudie la notion de bonheur chez Kant fondée à la fois sur l'éthique et la religion. M. Begzos présente la vision de l'église orthodoxe sur l'eschatologie. L'orthodoxie peut-elle penser l'eschatologie sans oublier l'action prophétique en ce monde ? P. Gisel traite des exigences de la pensée post-moderne : volonté d'autonomie, dissolution des hiérarchies et sécularisation de l'expérience transcendante. Comment envisager ces exigences sans évoquer " le moment de la modestie " ? Dieu, tout simplement parce qu'il est Dieu, veut le bonheur de tous les hommes et en particulier des " pauvres ". Mais cela reste de l'ordre de l'espérance et du mystère.
Sommaire
Pour une herméneutique chrétienne de la quête du bonheur
" Selig, ihr Armen " -Die Seligpreisungen im Zentrum desVerkündigund Jesu
Les béatitudes de Matthieu et des manuscrits de la mer Morte
St Gregory of Nyssa on the Beatitudes of Jesus
Das Streben nach der beatitudo bei Thomas von Aquin im Kontext seiner Theologie -Historische und systematische Fragen
Die Begründung der christlichen Hoffnung
3 "The Chief End of Man "-Perspectives from Calvin und The Reformed Tradition
Das Glückseligkeitsstreben im Denken Kants
Die Eschatologie in der Perspektive der orthodoxen Theologie
La béatitude eschatologique, salut du bonheur présent ?