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"A partir de la pie, gazza opératique, oiseau bruyant, vorace et insatisfait à la langue dure qui oscille entre picorer en sautillant sur les trottoirs ou se reposer sur les corniches des édifices, Rodolfo Häsler peint un livre. Ainsi, de la sonorité "Urraca" un imaginaire se déploie en transe, séparé de lui-même, isolé et dans le même temps immergé dans le temps qui lui convient, le poète qui est peintre suit le fil imaginaire qui le mène à la lumière : du noir vers le jaune puisque "la page obscure n'existe pas", et que moi je lis comme réponse à la radicalité nihiliste." Yolanda Pantin.