Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Cet ouvrage reprend l'étude minutieuse et originale qu' Isabelle Parron-Kontis a menée dans le cadre d'un diplôme universitaire sur les cathédrales...
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Livré chez vous entre le 8 octobre et le 22 octobre
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Résumé
Cet ouvrage reprend l'étude minutieuse et originale qu' Isabelle Parron-Kontis a menée dans le cadre d'un diplôme universitaire sur les cathédrales de Saint-Pierre en Tarentaise et de Saint-Jean Baptiste en Maurienne, ces deux grands édifices religieux de Savoie que l'on pensait jusqu'alors bien connus car déjà étudiés et fouillés aux siècles précédents. Par sa parfaite maîtrise de ce qu'il est aujourd'hui convenu d'appeler " l'archéologie du bâti ", puis par la confrontation de ses hypothèses aux possibilités qu'offrent aujourd'hui les sciences exactes comme la dendrochronologie ou les analyses de mortier, l'auteur est parvenu à renouveler totalement les données et les connaissances que nous avions sur ces deux cathédrales. Cette étude restera une très belle illustration des possibilités que gardent encore et toujours un édifice qui a beaucoup évolué au cours de son histoire et qui a déjà été fort restauré, pour ne pas dire " raclé ", lors de la mode dévastatrice des pierres apparentes. Isabelle Parron-Kontis nous démontre ici de façon magistrale qu'on peut encore faire parler un édifice profondément remanié par une observation fine, et des méthodes de relevés, d'analyses et d'enregistrement pointues adaptées à l'archéologie du bâti. Et c'est plutôt encourageant ! Cet ouvrage démontre enfin qu'il reste de l'intérêt de nos monuments reconnus comme étant " historiques " d'associer étroitement les services de l'Etat chargés de leur protection et de leur restauration, et plus particulièrement les architectes en chef, aux archéologues du bâti aujourd'hui rompus à ce type de réflexion.